Il y a neuf mois (1), je conseillais aux dirigeants de PME fragilisées par la crise de privilégier le cash-flow et d’élargir leur mode de financement en ouvrant leur capital à leurs salariés pour améliorer leurs chances de survie, plutôt que de miser sur l’endettement. En ce début d’année, je renouvelle cette préconisation d’utilisation de la rémunération en actions par toute PME socialement responsable.
Favoriser votre pérennité
Réussir votre développement durable suppose que vous existiez encore à la fin de cette décennie. Dans un contexte d’incertitude croissante, la pérennité de votre affaire repose financièrement sur votre trésorerie, vos fonds propres et des coûts plus flexibles. La rémunération en actions est un moyen efficace d’y parvenir.
Une efficacité financière record
La rémunération en actions optimisée est efficace à 90% dans la majorité des PME et coûte donc deux fois moins cher qu’une prime variable ou qu’une augmentation. Cet avantage financier initial est renforcé par une moindre fiscalité sur les plus-values de cession (0 contre 12,8% ou impôt / revenu) qui demeurent soumises aux prélèvements sociaux.
Arme d’attraction et de rétention
Face à l’arsenal des avantages offerts par les firmes du SBF 120, une PME peut innover en ouvrant généreusement son capital à ses employés, accroissant ainsi son pouvoir d’attraction et de rétention sur un marché plus compétitif pour la ressource humaine qualifiée. Demandez-vous si la pérennité de votre entreprise repose sur vos talents ou ceux de vos collaborateurs.
Renforcer la cohésion
La crise actuelle, le télétravail et la mobilité nécessitent d’évoluer vers un management moins vertical, plus collectif, responsabilisant et transparent (2). La rémunération en actions crée un esprit d’équipe supérieur au sein de l’entreprise dans la mesure où elle récompense la performance collective. Cette façon de rémunérer garantit aussi la transparence et l’horizontalité des pratiques, facteurs d’excellence dans le travail et la marche des entreprises.
Levier de performance
Si vous souhaitez positionner la rémunération comme un puissant levier de management de la performance, l’intéressement en actions vous permet d’offrir jusqu’à 30% du salaire (3) et au maximum 36 775 € par an en contrepartie d’une forte amélioration des résultats opérationnels ou des objectifs en développement durable.
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